Depuis son inscription sur la liste grise du Groupe d’Action Financière (GAFI), la Côte d’Ivoire redouble d’efforts pour réaménager et muscler son dispositif de lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme (LBC/FT). Et pas que sur le papier, car figurer sur une des deux redoutables listes du GAFI renchérit mécaniquement le coût du crédit bancaire dans le pays concerné. Les établissements financiers répercutent la hausse du coût de la conformité sur le taux d’intérêt. A cela, il faut ajouter la méfiance des banques internationales à contracter avec leurs consœurs ivoiriennes
Depuis son inscription sur la liste grise du Groupe d’Action Financière (GAFI), la Côte d’Ivoire redouble d’efforts pour réaménager et muscler son dispositif de lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme (LBC/FT). Et pas que sur le papier, car figurer sur une des deux redoutables listes du GAFI renchérit mécaniquement le coût du crédit bancaire dans le pays concerné. Les établissements financiers répercutent la hausse du coût de la conformité sur le taux d’intérêt. A cela, il faut ajouter la méfiance des banques internationales à contracter avec leurs consœurs ivoiriennes