Cancers du sein : une prise de sang pionnière pour détecter précocement les rechutes : Actualités

En recherchant l’ADN tumoral, un simple test sanguin permet de détecter le risque de rechute de certains cancers du sein. Traitées rapidement par un anticorps-médicament conjugué innovant, les patientes métastasées montrent une survie sans progression nettement améliorée.

Une avancée scientifique notable. Lundi 2 juin, lors d’un congrès mondial d’oncologie à Chicago, une nouvelle technologie a été présentée. Cette technologie promet de retrouver les traces biologiques d’un risque de rechute de certains cancers du sein, comme le rapporte 20 Minutes. Avec une simple prise de sang, la biopsie liquide permet de suivre l’évolution du cancer.

La prise de sang permet d’analyser l’ADN produit par les tumeurs. En cas de taux inhabituel, les équipes médicales peuvent intervenir plus rapidement et éviter une possible rechute pour des femmes atteintes de cancers hormono-dépendants, soit la tumeur au sein la plus répandue. Un « nouveau médicament », le camizestrant, a été développé par AstraZeneca, comme l’a annoncé le professeur François-Clément Bidard, de l’Institut Curie.

Un espoir pour d’autres type de cancer ?

Avec ce traitement, les chances de progression du cancer diminuent considérablement. Selon l’étude présentée au congrès, les patientes recevant ce traitement oral ont vu leur risque d’évolution du cancer réduit de 56 %. Pour François-Clément Bidard, cette méthode est « une première dans le cancer du sein » et « peut s’extrapoler au-delà de ce cancer ». Un nouvel espoir pour les patientes.

En recherchant l’ADN tumoral, un simple test sanguin permet de détecter le risque de rechute de certains cancers du sein. Traitées rapidement par un anticorps-médicament conjugué innovant, les patientes métastasées montrent une survie sans progression nettement améliorée.

Une avancée scientifique notable. Lundi 2 juin, lors d’un congrès mondial d’oncologie à Chicago, une nouvelle technologie a été présentée. Cette technologie promet de retrouver les traces biologiques d’un risque de rechute de certains cancers du sein, comme le rapporte 20 Minutes. Avec une simple prise de sang, la biopsie liquide permet de suivre l’évolution du cancer.

La prise de sang permet d’analyser l’ADN produit par les tumeurs. En cas de taux inhabituel, les équipes médicales peuvent intervenir plus rapidement et éviter une possible rechute pour des femmes atteintes de cancers hormono-dépendants, soit la tumeur au sein la plus répandue. Un « nouveau médicament », le camizestrant, a été développé par AstraZeneca, comme l’a annoncé le professeur François-Clément Bidard, de l’Institut Curie.

Un espoir pour d’autres type de cancer ?

Avec ce traitement, les chances de progression du cancer diminuent considérablement. Selon l’étude présentée au congrès, les patientes recevant ce traitement oral ont vu leur risque d’évolution du cancer réduit de 56 %. Pour François-Clément Bidard, cette méthode est « une première dans le cancer du sein » et « peut s’extrapoler au-delà de ce cancer ». Un nouvel espoir pour les patientes.

 

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