
La Cité Ibrahima Sarr ou Ballabey, ce quartier qui faisait jadis la fierté des habitants de la ville aux-deux-gares, est aujourd’hui en train de passer de vie à trépas. L’eau, aujourd’hui rétablie, est restée longtemps sans couler à flots comme avant, conjuguant au passé la vie de bourgeois. Les maisons qui y étaient construites depuis 1902, 1921 et 1928 sont pratiquement toutes vieilles, toutes voûtées. La durée de vie établie était de 60 ans pour les premières constructions et 80 ans pour les autres.