
Comme dans les histoires criminelles, en biologie aussi les progrès de la génétique permettent parfois de rouvrir de vieux dossiers et rétablir certaines vérités. C’est ce qui vient de se passer avec la bactérie responsable de la lèpre.
Comme dans les histoires criminelles, en biologie aussi les progrès de la génétique permettent parfois de rouvrir de vieux dossiers et rétablir certaines vérités. C’est ce qui vient de se passer avec la bactérie responsable de la lèpre.