« Fidèle à son engagement historique pour une paix juste et durable au Proche-Orient, j’ai décidé que la France reconnaîtra l’État de Palestine », a déclaré Emmanuel Macron, jeudi 24 avril, sur son compte X. « L’urgence est aujourd’hui que cesse la guerre à Gaza et que la population civile soit secourue », a poursuivi le chef de l’État dans sa lettre. Emmanuel Macron continue en pointant du doigt la nécessité d’un cessez-le-feu, de la libération de tous les otages et d’une aide humanitaire massive à la population de Gaza.
« Il faut aussi garantir la démilitarisation du Hamas, sécuriser et reconstruire Gaza. Il faut enfin bâtir l’État de Palestine, assurer sa viabilité et permettre qu’en acceptant sa démilitarisation et en reconnaissant pleinement Israël, il participe à la sécurité de tous au Proche-Orient », écrit-il.
Une décision autant saluée que critiquée
Cette annonce a suscité des réactions contrastées. En France, Olivier Faure, premier secrétaire du Parti socialiste, « salue cette décision », tout en appelant à des sanctions « tant que durera le génocide en cours » et à l’arrêt des ventes d’armes.
Dominique de Villepin parle d’une « décision historique, attendue et courageuse » qui « honore nos valeurs universelles ». À l’inverse, Jordan Bardella (RN) estime que cette reconnaissance « accordera au Hamas une légitimité institutionnelle et internationale inespérée ».
À l’étranger, Donald Trump juge que la déclaration de Macron « n’a pas de poids ». Le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou a, lui, dénoncé « une décision qui récompense le terrorisme ».
« Fidèle à son engagement historique pour une paix juste et durable au Proche-Orient, j’ai décidé que la France reconnaîtra l’État de Palestine », a déclaré Emmanuel Macron, jeudi 24 avril, sur son compte X. « L’urgence est aujourd’hui que cesse la guerre à Gaza et que la population civile soit secourue », a poursuivi le chef de l’État dans sa lettre. Emmanuel Macron continue en pointant du doigt la nécessité d’un cessez-le-feu, de la libération de tous les otages et d’une aide humanitaire massive à la population de Gaza.
« Il faut aussi garantir la démilitarisation du Hamas, sécuriser et reconstruire Gaza. Il faut enfin bâtir l’État de Palestine, assurer sa viabilité et permettre qu’en acceptant sa démilitarisation et en reconnaissant pleinement Israël, il participe à la sécurité de tous au Proche-Orient », écrit-il.
Une décision autant saluée que critiquée
Cette annonce a suscité des réactions contrastées. En France, Olivier Faure, premier secrétaire du Parti socialiste, « salue cette décision », tout en appelant à des sanctions « tant que durera le génocide en cours » et à l’arrêt des ventes d’armes.
Dominique de Villepin parle d’une « décision historique, attendue et courageuse » qui « honore nos valeurs universelles ». À l’inverse, Jordan Bardella (RN) estime que cette reconnaissance « accordera au Hamas une légitimité institutionnelle et internationale inespérée ».
À l’étranger, Donald Trump juge que la déclaration de Macron « n’a pas de poids ». Le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou a, lui, dénoncé « une décision qui récompense le terrorisme ».