C’est dans un tweet publié samedi 21 juin sur le réseau social X qu’Emmanuel Macron a annoncé s’être entretenu avec le président iranien, Masoud Pezeshkian. « Je lui ai d’abord redit mon exigence : Cécile Kohler et Jacques Paris doivent être libérés », a-t-il déclaré. « Leur détention inhumaine est injuste. J’attends leur retour en France. »
Arrêté en mai 2022, le couple de Français, accusé d’ »espionnage », est détenu dans des conditions extrêmement dures, à l’isolement, dans la prison d’Evin, à Téhéran.
« L’Iran ne doit jamais avoir l’arme nucléaire »
« Je lui ai dit aussi ma profonde inquiétude concernant le programme nucléaire iranien, poursuit Emmanuel Macron. Là encore, je suis exigeant : l’Iran ne doit jamais avoir l’arme nucléaire et il lui appartient de donner toute garantie que ses intentions sont pacifiques. » Et d’ajouter : « Je suis convaincu qu’il existe un chemin pour sortir de la guerre et éviter de plus graves dangers. Pour y parvenir, nous allons accélérer les négociations engagées par la France et ses partenaires européens avec l’Iran. »
Vendredi 20 juin, lors d’une rencontre à Genève avec le ministre iranien des Affaires étrangères, Abbas Araghchi, l’Allemagne, la France et le Royaume-Uni ont appelé l’Iran à revenir à la table des négociations, sans attendre la fin des frappes israéliennes. Lors de cet échange, les trois pays européennes ont exhorté Téhéran à relancer le dialogue avec Washington sur le dossier nucléaire. Une proposition aussitôt rejetée par le chef de la diplomatie iranienne qui exige, en préalable, un arrêt total des frappes israéliennes — toujours en cours ce samedi 21 juin.
Neuf jours après les premières frappes d’Israël, le ministère iranien de la Santé affirme sur X que « les attaques israéliennes ont coûté la vie à plus de 400 Iraniens » et que 3 056 ont été « blessés par des missiles et des drones ».
De son côté, l’armée israélienne a annoncé, samedi 21 juin, avoir lancé de nouvelles frappes aériennes. Israël estime qu’il a retardé « d’au moins deux ans » la possibilité pour Téhéran d’avoir la bombe nucléaire.
C’est dans un tweet publié samedi 21 juin sur le réseau social X qu’Emmanuel Macron a annoncé s’être entretenu avec le président iranien, Masoud Pezeshkian. « Je lui ai d’abord redit mon exigence : Cécile Kohler et Jacques Paris doivent être libérés », a-t-il déclaré. « Leur détention inhumaine est injuste. J’attends leur retour en France. »
Arrêté en mai 2022, le couple de Français, accusé d’ »espionnage », est détenu dans des conditions extrêmement dures, à l’isolement, dans la prison d’Evin, à Téhéran.
« L’Iran ne doit jamais avoir l’arme nucléaire »
« Je lui ai dit aussi ma profonde inquiétude concernant le programme nucléaire iranien, poursuit Emmanuel Macron. Là encore, je suis exigeant : l’Iran ne doit jamais avoir l’arme nucléaire et il lui appartient de donner toute garantie que ses intentions sont pacifiques. » Et d’ajouter : « Je suis convaincu qu’il existe un chemin pour sortir de la guerre et éviter de plus graves dangers. Pour y parvenir, nous allons accélérer les négociations engagées par la France et ses partenaires européens avec l’Iran. »
Vendredi 20 juin, lors d’une rencontre à Genève avec le ministre iranien des Affaires étrangères, Abbas Araghchi, l’Allemagne, la France et le Royaume-Uni ont appelé l’Iran à revenir à la table des négociations, sans attendre la fin des frappes israéliennes. Lors de cet échange, les trois pays européennes ont exhorté Téhéran à relancer le dialogue avec Washington sur le dossier nucléaire. Une proposition aussitôt rejetée par le chef de la diplomatie iranienne qui exige, en préalable, un arrêt total des frappes israéliennes — toujours en cours ce samedi 21 juin.
Neuf jours après les premières frappes d’Israël, le ministère iranien de la Santé affirme sur X que « les attaques israéliennes ont coûté la vie à plus de 400 Iraniens » et que 3 056 ont été « blessés par des missiles et des drones ».
De son côté, l’armée israélienne a annoncé, samedi 21 juin, avoir lancé de nouvelles frappes aériennes. Israël estime qu’il a retardé « d’au moins deux ans » la possibilité pour Téhéran d’avoir la bombe nucléaire.
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