Au lendemain du premier titre en Ligue des champions du PSG, Emmanuel Macron a dénoncé les incidents survenus le soir de la victoire lors des célébrations, affirmant que « rien ne peut justifier les violences ».
Dimanche 1er juin, le président Emmanuel Macron a fermement condamné les violences qui ont émaillé la veille les célébrations du premier sacre du Paris Saint-Germain en Ligue des champions après leur victoire (5-0) en finale face à l’Inter Milan. Malgré ces débordements, les célébrations ont continué le lendemain avec une parade des joueurs du PSG sur les Champs-Élysées, qui été reçus ensuite à l’Élysée.
À cette occasion, le président Macron a félicité les joueurs parisiens pour leur performance historique, déclarant : « Vous avez fait vibrer tout un pays ». Faisant ensuite référence aux échauffourées qui ont suivi le premier lever de la coupe aux grandes oreilles par un club français depuis 32 ans, il a martelé que « rien ne peut justifier les violences », appelant au calme et au respect des forces de l’ordre.
« Les affrontements violents qui se sont tenus sont inacceptables », a ajouté le président de la République, rappelant le « bilan lourd » de la soirée, notamment de deux personnes mortes, l’une à Paris et l’autre à Dax (Landes). « Une trentaine de policiers et plusieurs sapeurs-pompiers ont été blessés », a rappelé le chef de l’État. « Et je pense aussi à notre policier qui est en ce moment même dans le coma et qui venait de Rennes, en support à certains de ces collègues », a-t-il insisté.
Fans & « barbares »
La nuit précédente, dans plusieurs villes de France, notamment à Paris, des affrontements entre supporters et forces de l’ordre ont été signalés. Des véhicules ont été incendiés, des magasins pillés et des heurts ont fait plusieurs blessés, parfois en état d’urgence absolue. Selon le ministère de l’Intérieur, plus de 500 interpellations ont été effectuées à travers le pays cette nuit-là, conduisant à 320 gardes à vue dont 254 dans la capitale
Le ministre de l’Intérieur, Bruno Retailleau, a réagi en qualifiant les fauteurs de troubles de « barbares », tout en saluant le travail des forces de l’ordre. Il a souligné que la réponse à ces violences ne pouvait être uniquement policière, appelant à une réflexion plus large sur les causes de ces débordements.
Dimanche 1er juin, le président Emmanuel Macron a fermement condamné les violences qui ont émaillé la veille les célébrations du premier sacre du Paris Saint-Germain en Ligue des champions après leur victoire (5-0) en finale face à l’Inter Milan. Malgré ces débordements, les célébrations ont continué le lendemain avec une parade des joueurs du PSG sur les Champs-Élysées, qui été reçus ensuite à l’Élysée.
À cette occasion, le président Macron a félicité les joueurs parisiens pour leur performance historique, déclarant : « Vous avez fait vibrer tout un pays ». Faisant ensuite référence aux échauffourées qui ont suivi le premier lever de la coupe aux grandes oreilles par un club français depuis 32 ans, il a martelé que « rien ne peut justifier les violences », appelant au calme et au respect des forces de l’ordre.
« Les affrontements violents qui se sont tenus sont inacceptables », a ajouté le président de la République, rappelant le « bilan lourd » de la soirée, notamment de deux personnes mortes, l’une à Paris et l’autre à Dax (Landes). « Une trentaine de policiers et plusieurs sapeurs-pompiers ont été blessés », a rappelé le chef de l’État. « Et je pense aussi à notre policier qui est en ce moment même dans le coma et qui venait de Rennes, en support à certains de ces collègues », a-t-il insisté.
Fans & « barbares »
La nuit précédente, dans plusieurs villes de France, notamment à Paris, des affrontements entre supporters et forces de l’ordre ont été signalés. Des véhicules ont été incendiés, des magasins pillés et des heurts ont fait plusieurs blessés, parfois en état d’urgence absolue. Selon le ministère de l’Intérieur, plus de 500 interpellations ont été effectuées à travers le pays cette nuit-là, conduisant à 320 gardes à vue dont 254 dans la capitale
Le ministre de l’Intérieur, Bruno Retailleau, a réagi en qualifiant les fauteurs de troubles de « barbares », tout en saluant le travail des forces de l’ordre. Il a souligné que la réponse à ces violences ne pouvait être uniquement policière, appelant à une réflexion plus large sur les causes de ces débordements.
Le PSG, de son côté, a publié un communiqué condamnant les violences et appelant ses supporters à célébrer dans le respect et la joie. Le club a insisté sur le fait que ces incidents ne reflétaient pas l’esprit de la majorité de ses fans, rapporte AP.
Au lendemain du premier titre en Ligue des champions du PSG, Emmanuel Macron a dénoncé les incidents survenus le soir de la victoire lors des célébrations, affirmant que « rien ne peut justifier les violences ».
Dimanche 1er juin, le président Emmanuel Macron a fermement condamné les violences qui ont émaillé la veille les célébrations du premier sacre du Paris Saint-Germain en Ligue des champions après leur victoire (5-0) en finale face à l’Inter Milan. Malgré ces débordements, les célébrations ont continué le lendemain avec une parade des joueurs du PSG sur les Champs-Élysées, qui été reçus ensuite à l’Élysée.
À cette occasion, le président Macron a félicité les joueurs parisiens pour leur performance historique, déclarant : « Vous avez fait vibrer tout un pays ». Faisant ensuite référence aux échauffourées qui ont suivi le premier lever de la coupe aux grandes oreilles par un club français depuis 32 ans, il a martelé que « rien ne peut justifier les violences », appelant au calme et au respect des forces de l’ordre.
« Les affrontements violents qui se sont tenus sont inacceptables », a ajouté le président de la République, rappelant le « bilan lourd » de la soirée, notamment de deux personnes mortes, l’une à Paris et l’autre à Dax (Landes). « Une trentaine de policiers et plusieurs sapeurs-pompiers ont été blessés », a rappelé le chef de l’État. « Et je pense aussi à notre policier qui est en ce moment même dans le coma et qui venait de Rennes, en support à certains de ces collègues », a-t-il insisté.
Fans & « barbares »
La nuit précédente, dans plusieurs villes de France, notamment à Paris, des affrontements entre supporters et forces de l’ordre ont été signalés. Des véhicules ont été incendiés, des magasins pillés et des heurts ont fait plusieurs blessés, parfois en état d’urgence absolue. Selon le ministère de l’Intérieur, plus de 500 interpellations ont été effectuées à travers le pays cette nuit-là, conduisant à 320 gardes à vue dont 254 dans la capitale
Le ministre de l’Intérieur, Bruno Retailleau, a réagi en qualifiant les fauteurs de troubles de « barbares », tout en saluant le travail des forces de l’ordre. Il a souligné que la réponse à ces violences ne pouvait être uniquement policière, appelant à une réflexion plus large sur les causes de ces débordements.
Dimanche 1er juin, le président Emmanuel Macron a fermement condamné les violences qui ont émaillé la veille les célébrations du premier sacre du Paris Saint-Germain en Ligue des champions après leur victoire (5-0) en finale face à l’Inter Milan. Malgré ces débordements, les célébrations ont continué le lendemain avec une parade des joueurs du PSG sur les Champs-Élysées, qui été reçus ensuite à l’Élysée.
À cette occasion, le président Macron a félicité les joueurs parisiens pour leur performance historique, déclarant : « Vous avez fait vibrer tout un pays ». Faisant ensuite référence aux échauffourées qui ont suivi le premier lever de la coupe aux grandes oreilles par un club français depuis 32 ans, il a martelé que « rien ne peut justifier les violences », appelant au calme et au respect des forces de l’ordre.
« Les affrontements violents qui se sont tenus sont inacceptables », a ajouté le président de la République, rappelant le « bilan lourd » de la soirée, notamment de deux personnes mortes, l’une à Paris et l’autre à Dax (Landes). « Une trentaine de policiers et plusieurs sapeurs-pompiers ont été blessés », a rappelé le chef de l’État. « Et je pense aussi à notre policier qui est en ce moment même dans le coma et qui venait de Rennes, en support à certains de ces collègues », a-t-il insisté.
Fans & « barbares »
La nuit précédente, dans plusieurs villes de France, notamment à Paris, des affrontements entre supporters et forces de l’ordre ont été signalés. Des véhicules ont été incendiés, des magasins pillés et des heurts ont fait plusieurs blessés, parfois en état d’urgence absolue. Selon le ministère de l’Intérieur, plus de 500 interpellations ont été effectuées à travers le pays cette nuit-là, conduisant à 320 gardes à vue dont 254 dans la capitale
Le ministre de l’Intérieur, Bruno Retailleau, a réagi en qualifiant les fauteurs de troubles de « barbares », tout en saluant le travail des forces de l’ordre. Il a souligné que la réponse à ces violences ne pouvait être uniquement policière, appelant à une réflexion plus large sur les causes de ces débordements.
Le PSG, de son côté, a publié un communiqué condamnant les violences et appelant ses supporters à célébrer dans le respect et la joie. Le club a insisté sur le fait que ces incidents ne reflétaient pas l’esprit de la majorité de ses fans, rapporte AP.