
Le Kremlin avait jeudi dénoncé comme une «menace» le discours du chef de l’État, se disant prêt à des discussions sur une protection de l’Europe par le parapluie nucléaire français et l’accusant de vouloir que la guerre continue.
Le Kremlin avait jeudi dénoncé comme une «menace» le discours du chef de l’État, se disant prêt à des discussions sur une protection de l’Europe par le parapluie nucléaire français et l’accusant de vouloir que la guerre continue.