Nouveau coup de semonce de l’administration Trump à l’approche de la date butoir du 9 juillet, censée mettre fin aux négociations avec l’Europe. Dimanche 6 juillet, le ministre américain du Trésor, Scott Bessent, a affirmé que, faute d’accord avec les États-Unis dans les prochains jours, les droits de douane – pouvant atteindre 50 % – annoncés début avril puis suspendus le temps de négocier, entreraient en vigueur le 1er août.
Depuis plusieurs jours, les négociations sont encore au point mort, alors que Washington continue de mettre la pression sur Bruxelles. Donald Trump a notamment annoncé qu’il envisageait d’envoyer, dès vendredi 4 juillet, des lettres d’information de l’imposition de droits de douane punitifs aux partenaires commerciaux des États-Unis. Elles concerneraient dix à douze pays, allant de pays membres de l’Union européenne à Taïwan.
L’Union européenne tente de se protéger
Face à la menace américaine sur les tarifs douaniers, qui pourraient asphyxier bon nombre de secteurs économiques clés en Europe, et notamment le secteur automobile, la Commission tente de trouver un accord qui limiterait les dégâts. Mais elle fait face à un os. Selon les informations de l’agence Bloomberg, cet accord devrait pencher largement en faveur des États-Unis, mais permettre de faire redescendre le tarif douanier à 10 %, sur lequel Washington demeure inflexible. En attendant, le porte-parole de la Commission européenne, Olof Gill, cherche à rassurer les États membres, assurant que « des progrès ont été réalisés vers un accord de principe » et que « la Commission renouera avec les États-Unis sur le fond ce week-end ».
Nouveau coup de semonce de l’administration Trump à l’approche de la date butoir du 9 juillet, censée mettre fin aux négociations avec l’Europe. Dimanche 6 juillet, le ministre américain du Trésor, Scott Bessent, a affirmé que, faute d’accord avec les États-Unis dans les prochains jours, les droits de douane – pouvant atteindre 50 % – annoncés début avril puis suspendus le temps de négocier, entreraient en vigueur le 1er août.
Depuis plusieurs jours, les négociations sont encore au point mort, alors que Washington continue de mettre la pression sur Bruxelles. Donald Trump a notamment annoncé qu’il envisageait d’envoyer, dès vendredi 4 juillet, des lettres d’information de l’imposition de droits de douane punitifs aux partenaires commerciaux des États-Unis. Elles concerneraient dix à douze pays, allant de pays membres de l’Union européenne à Taïwan.
L’Union européenne tente de se protéger
Face à la menace américaine sur les tarifs douaniers, qui pourraient asphyxier bon nombre de secteurs économiques clés en Europe, et notamment le secteur automobile, la Commission tente de trouver un accord qui limiterait les dégâts. Mais elle fait face à un os. Selon les informations de l’agence Bloomberg, cet accord devrait pencher largement en faveur des États-Unis, mais permettre de faire redescendre le tarif douanier à 10 %, sur lequel Washington demeure inflexible. En attendant, le porte-parole de la Commission européenne, Olof Gill, cherche à rassurer les États membres, assurant que « des progrès ont été réalisés vers un accord de principe » et que « la Commission renouera avec les États-Unis sur le fond ce week-end ».