Selon les informations de France 24, Israël a décidé d’envoyer une équipe de négociateurs au Qatar, dimanche 6 juillet. L’objectif : négocier avec le Hamas la proposition de trêve américaine, soutenue par l’Égypte et le pays du Golfe persique.
Le mouvement islamiste a déclaré, vendredi 4 juillet au soir, être “prêt à engager immédiatement et sérieusement un cycle de négociations” dans l’objectif de conclure le cessez-le-feu, à l’issue de “consultations internes et avec (d’autres forces) palestiniennes”.
Pour autant, l’accord est loin d’être validé. En effet, le bureau de Benyamin Netanyahou a indiqué que le Hamas cherche à apporter des “changements à la proposition de trêve”, jugés “inacceptables”. Le Premier ministre israélien a néanmoins « donné l’instruction de répondre à l’invitation pour des pourparlers indirects et de poursuivre les efforts en vue de récupérer nos otages sur la base de la proposition qatarie qu’Israël a acceptée », explique le texte relayé par France 24, précisant que « l’équipe de négociation se rendra demain (dimanche) pour des discussions au Qatar ».
Une trêve de 60 jours
Le plan américain prévoit notamment une trêve de 60 jours, ainsi que la libération, durant cette période, de la moitié des otages israéliens en échange de prisonniers palestiniens détenus par Israël. Pour rappel, 49 sont toujours retenus dans l’enclave, dont 27 ont été déclarés morts par l’armée israélienne.
Donald Trump avait assuré, mardi 1er juillet, qu’Israël avait accepté cette proposition et avait demandé au Hamas d’accepter cette « ultime proposition ». Auquel cas « la situation ne s’améliorera pas, elle ne fera qu’empirer », alors que la Défense civile a annoncé la mort de 52 Palestiniens dans les raids aériens, bombardements et tirs de l’armée israélienne, le 1er juillet, et 42 ont été tuées samedi.
Selon les informations de France 24, Israël a décidé d’envoyer une équipe de négociateurs au Qatar, dimanche 6 juillet. L’objectif : négocier avec le Hamas la proposition de trêve américaine, soutenue par l’Égypte et le pays du Golfe persique.
Le mouvement islamiste a déclaré, vendredi 4 juillet au soir, être “prêt à engager immédiatement et sérieusement un cycle de négociations” dans l’objectif de conclure le cessez-le-feu, à l’issue de “consultations internes et avec (d’autres forces) palestiniennes”.
Pour autant, l’accord est loin d’être validé. En effet, le bureau de Benyamin Netanyahou a indiqué que le Hamas cherche à apporter des “changements à la proposition de trêve”, jugés “inacceptables”. Le Premier ministre israélien a néanmoins « donné l’instruction de répondre à l’invitation pour des pourparlers indirects et de poursuivre les efforts en vue de récupérer nos otages sur la base de la proposition qatarie qu’Israël a acceptée », explique le texte relayé par France 24, précisant que « l’équipe de négociation se rendra demain (dimanche) pour des discussions au Qatar ».
Une trêve de 60 jours
Le plan américain prévoit notamment une trêve de 60 jours, ainsi que la libération, durant cette période, de la moitié des otages israéliens en échange de prisonniers palestiniens détenus par Israël. Pour rappel, 49 sont toujours retenus dans l’enclave, dont 27 ont été déclarés morts par l’armée israélienne.
Donald Trump avait assuré, mardi 1er juillet, qu’Israël avait accepté cette proposition et avait demandé au Hamas d’accepter cette « ultime proposition ». Auquel cas « la situation ne s’améliorera pas, elle ne fera qu’empirer », alors que la Défense civile a annoncé la mort de 52 Palestiniens dans les raids aériens, bombardements et tirs de l’armée israélienne, le 1er juillet, et 42 ont été tuées samedi.