Guerre en Ukraine : une délégation de Zelensky s’envole pour Istanbul en vue de pourparlers avec Moscou : Actualités

Une délégation ukrainienne se rendra, lundi 2 juin, en Turquie pour des négociations avec la Russie visant à mettre fin au conflit lancé par l’assaut russe en février 2022.
Annoncée dimanche 1er juin sur Telegram et Twitter par Volodymyr Zelensky, cette deuxième série de pourparlers entre la Russie et l’Ukraine arrive moins d’un mois après les négociations qui s’étaient déjà tenues à Istanbul, en Turquie.

« Nous faisons tout pour protéger notre indépendance, notre État et notre peuple, écrit le président ukrainien. J’ai défini les tâches à court terme et également nos positions en vue de la réunion prévue à Istanbul lundi. »

La première priorité de l’Ukraine est d’obtenir « un cessez-le-feu total et inconditionnel », puis « la libération des prisonniers » et « le retour des enfants enlevés ».

Volodymyr Zelensky demande également « une rencontre au plus haut niveau » car « les questions clés ne peuvent être résolues que par les dirigeants ». Une demande que Vladimir Poutine avait déjà refusée.

Lundi, cette délégation sera une nouvelle fois conduite par son ministre de la Défense, Rustem Umerov. De son côté, la Russie a indiqué, via sa porte-parole de la diplomatie, Maria Zakharova, qu’elle prévoyait d’envoyer la « même » équipe qu’au premier cycle de négociations du 16 mai. Un choix jugé par Kiev comme un signe que Moscou ne prenait pas ce processus au sérieux.

Une conciliation impossible

Les positions officielles des deux belligérants semblent difficilement conciliables : la Russie exige de l’Ukraine qu’elle renonce à jamais à rejoindre l’Otan et lui cède les cinq régions dont elle revendique l’annexion.

Des exigences jugées inacceptables par Kiev, qui réclame en retour le retrait total des troupes russes de son territoire. De son côté, Moscou rejette la demande de cessez-le-feu sans conditions formulée par Kiev, soutenue par Washington et les Européens.

Une délégation ukrainienne se rendra, lundi 2 juin, en Turquie pour des négociations avec la Russie visant à mettre fin au conflit lancé par l’assaut russe en février 2022.
Annoncée dimanche 1er juin sur Telegram et Twitter par Volodymyr Zelensky, cette deuxième série de pourparlers entre la Russie et l’Ukraine arrive moins d’un mois après les négociations qui s’étaient déjà tenues à Istanbul, en Turquie.

« Nous faisons tout pour protéger notre indépendance, notre État et notre peuple, écrit le président ukrainien. J’ai défini les tâches à court terme et également nos positions en vue de la réunion prévue à Istanbul lundi. »

La première priorité de l’Ukraine est d’obtenir « un cessez-le-feu total et inconditionnel », puis « la libération des prisonniers » et « le retour des enfants enlevés ».

Volodymyr Zelensky demande également « une rencontre au plus haut niveau » car « les questions clés ne peuvent être résolues que par les dirigeants ». Une demande que Vladimir Poutine avait déjà refusée.

Lundi, cette délégation sera une nouvelle fois conduite par son ministre de la Défense, Rustem Umerov. De son côté, la Russie a indiqué, via sa porte-parole de la diplomatie, Maria Zakharova, qu’elle prévoyait d’envoyer la « même » équipe qu’au premier cycle de négociations du 16 mai. Un choix jugé par Kiev comme un signe que Moscou ne prenait pas ce processus au sérieux.

Une conciliation impossible

Les positions officielles des deux belligérants semblent difficilement conciliables : la Russie exige de l’Ukraine qu’elle renonce à jamais à rejoindre l’Otan et lui cède les cinq régions dont elle revendique l’annexion.

Des exigences jugées inacceptables par Kiev, qui réclame en retour le retrait total des troupes russes de son territoire. De son côté, Moscou rejette la demande de cessez-le-feu sans conditions formulée par Kiev, soutenue par Washington et les Européens.

 

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

WP Radio
WP Radio
OFFLINE LIVE
fr_FRFrench