
L’entomologiste expérimente l’ajout d’un biocide sur les insectes rendus stériles qu’il lâche ensuite dans les zones contaminées, empêchant les larves de devenir adultes. D’ici dix ans, il souhaite remplacer cette molécule par un virus naturel du moustique. Un espoir dans la lutte contre les viroses transmises par les piqûres d’« Aedes ».
L’entomologiste expérimente l’ajout d’un biocide sur les insectes rendus stériles qu’il lâche ensuite dans les zones contaminées, empêchant les larves de devenir adultes. D’ici dix ans, il souhaite remplacer cette molécule par un virus naturel du moustique. Un espoir dans la lutte contre les viroses transmises par les piqûres d’« Aedes ».