
Quand l’esprit partisan trahit l’élan du dialogue Le dialogue politique du 28 mai dernier, voulu inclusif par le président Bassirou Diomaye Faye, a tourné à la manœuvre partisane. Si les termes de référence amendés avaient été acceptés par tous, y compris le Pastef, la réalité des travaux a montré un refus net d’aborder les sujets les plus sensibles : libertés, droits humains, répression. Une dissonance qui jette une lumière crue sur la posture ambiguë du parti au pouvoir. Un Président au-dessus de la mêlée
Quand l’esprit partisan trahit l’élan du dialogue Le dialogue politique du 28 mai dernier, voulu inclusif par le président Bassirou Diomaye Faye, a tourné à la manœuvre partisane. Si les termes de référence amendés avaient été acceptés par tous, y compris le Pastef, la réalité des travaux a montré un refus net d’aborder les sujets les plus sensibles : libertés, droits humains, répression. Une dissonance qui jette une lumière crue sur la posture ambiguë du parti au pouvoir. Un Président au-dessus de la mêlée