
En pleine Seconde Guerre mondiale, imaginer un programme politique qui s’appellerait « Les Jours heureux ». Et, dans la clandestinité, rechercher ensemble des compromis pour poser les bases de notre État-providence. C’est ce qu’ont réussi les membres du CNR, le Conseil national de la Résistance. Ces hommes à qui l’on doit notre système de Sécurité sociale.
En pleine Seconde Guerre mondiale, imaginer un programme politique qui s’appellerait « Les Jours heureux ». Et, dans la clandestinité, rechercher ensemble des compromis pour poser les bases de notre État-providence. C’est ce qu’ont réussi les membres du CNR, le Conseil national de la Résistance. Ces hommes à qui l’on doit notre système de Sécurité sociale.