
C’est sous le prisme de la santé des personnes LGBTI+ (lesbiennes, gays, bisexuelles, transgenres, intersexuées) que Marseille a abordé la Journée mondiale contre l’homophobie, la transphobie et la biphobie du 17 mai. Une conférence qui fait écho au rapport du Défenseur des droits (DDD) intitulé « Prévenir les discriminations dans les parcours de soins : un enjeu d’égalité », publié le 6 mai et complété par un second texte, sur les transgenres, le 17 juin.
C’est sous le prisme de la santé des personnes LGBTI+ (lesbiennes, gays, bisexuelles, transgenres, intersexuées) que Marseille a abordé la Journée mondiale contre l’homophobie, la transphobie et la biphobie du 17 mai. Une conférence qui fait écho au rapport du Défenseur des droits (DDD) intitulé « Prévenir les discriminations dans les parcours de soins : un enjeu d’égalité », publié le 6 mai et complété par un second texte, sur les transgenres, le 17 juin.