
Avec une incidence de 2,5/100 000, la néphropathie à IgA, ou maladie de Berger, est la glomérulopathie la plus fréquente dans le monde. Elle se caractérise par des dépôts d’IgA au niveau mésangial et se traduit cliniquement par une hématurie et une évolution vers une insuffisance rénale terminale dans la moitié des cas.Depuis plusieurs années, différentes pistes novatrices sont explorées avec de nombreux essais cliniques évaluant des molécules ciblant les mécanismes physiopathologiques immunologiques.
Avec une incidence de 2,5/100 000, la néphropathie à IgA, ou maladie de Berger, est la glomérulopathie la plus fréquente dans le monde. Elle se caractérise par des dépôts d’IgA au niveau mésangial et se traduit cliniquement par une hématurie et une évolution vers une insuffisance rénale terminale dans la moitié des cas.Depuis plusieurs années, différentes pistes novatrices sont explorées avec de nombreux essais cliniques évaluant des molécules ciblant les mécanismes physiopathologiques immunologiques.