
Certains pays en développement consacrent plus d’argent au remboursement de leur dette extérieure qu’à la lutte contre les changements climatiques, a indiqué mardi une experte indépendante des Nations Unies, relevant que les pays déjà aux prises avec des niveaux d’endettement deviennent de plus en plus vulnérables aux exigences financières de l’action climatique.
Certains pays en développement consacrent plus d’argent au remboursement de leur dette extérieure qu’à la lutte contre les changements climatiques, a indiqué mardi une experte indépendante des Nations Unies, relevant que les pays déjà aux prises avec des niveaux d’endettement deviennent de plus en plus vulnérables aux exigences financières de l’action climatique.