
Depuis la prise de la capitale du Nord-Kivu par le M23, la liberté et l’indépendance, essentielles à l’exercice du journalisme, semblent reléguées au second plan. Bien que les rebelles n’aient pas imposé de lignes directrices explicites, la peur des représailles pousse de nombreux journalistes à fuir ou s’autocensurer.
Depuis la prise de la capitale du Nord-Kivu par le M23, la liberté et l’indépendance, essentielles à l’exercice du journalisme, semblent reléguées au second plan. Bien que les rebelles n’aient pas imposé de lignes directrices explicites, la peur des représailles pousse de nombreux journalistes à fuir ou s’autocensurer.