Les prévisions ne laissent que peu d’espoir. Dans une étude publiée mercredi 28 mai, relayée par Ouest France, l’Organisation météorologique mondiale estime qu’il y a maintenant 70 % de chances que la température moyenne mondiale dépasse les +1,5°C entre 2025 et 2029. Cette limite, l’accord de Paris signé en 2015 visait précisément à ne pas la dépasser.
L’année 2024 bat des records de chaleur, et ce record devrait être battu de nouveau très bientôt. Selon les climatologues, au moins l’une des cinq prochaines années devrait être encore plus chaude. « Malheureusement, ce rapport ne laisse entrevoir aucun répit », résume Ko Barrett, secrétaire générale adjointe de l’OMM.
Une réalité déjà palpable
Catastrophes naturelles, canicules précoces, inondations, sécheresses répétées… Les effets sont déjà visibles. En Chine, les températures ont franchi les 40°C, quand les Émirats arabes unis ont frôlé les 52°C. Le Pakistan, lui, a été balayé par des vents meurtriers, juste après une vague de chaleur extrême. Partout, les événements climatiques s’intensifient.
« Nous avons déjà atteint un niveau dangereux de réchauffement », alerte Friederike Otto, climatologue à l’Imperial College de Londres, qui appelle à sortir au plus vite des énergies fossiles, l’une des causes principales du réchauffement climatique. Car si le +1,5°C semble désormais inévitable, chaque dixième de degré supplémentaire aggrave les impacts. Et les retours en arrière, eux, n’existent pas.
Les prévisions ne laissent que peu d’espoir. Dans une étude publiée mercredi 28 mai, relayée par Ouest France, l’Organisation météorologique mondiale estime qu’il y a maintenant 70 % de chances que la température moyenne mondiale dépasse les +1,5°C entre 2025 et 2029. Cette limite, l’accord de Paris signé en 2015 visait précisément à ne pas la dépasser.
L’année 2024 bat des records de chaleur, et ce record devrait être battu de nouveau très bientôt. Selon les climatologues, au moins l’une des cinq prochaines années devrait être encore plus chaude. « Malheureusement, ce rapport ne laisse entrevoir aucun répit », résume Ko Barrett, secrétaire générale adjointe de l’OMM.
Une réalité déjà palpable
Catastrophes naturelles, canicules précoces, inondations, sécheresses répétées… Les effets sont déjà visibles. En Chine, les températures ont franchi les 40°C, quand les Émirats arabes unis ont frôlé les 52°C. Le Pakistan, lui, a été balayé par des vents meurtriers, juste après une vague de chaleur extrême. Partout, les événements climatiques s’intensifient.
« Nous avons déjà atteint un niveau dangereux de réchauffement », alerte Friederike Otto, climatologue à l’Imperial College de Londres, qui appelle à sortir au plus vite des énergies fossiles, l’une des causes principales du réchauffement climatique. Car si le +1,5°C semble désormais inévitable, chaque dixième de degré supplémentaire aggrave les impacts. Et les retours en arrière, eux, n’existent pas.
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