
Le 5 juin 2025, l’annonce par une équipe de recherche australienne d’une avancée expérimentale dans le traitement du VIH a attiré l’attention de la communauté scientifique, mais aussi de l’écosystème industriel de la santé. À Melbourne, l’Institut Peter Doherty a mis au point une technique fondée sur l’ARN messager, capable, selon les premières données in vitro, d’activer les cellules infectées par le VIH de manière à les rendre détectables et donc potentiellement éliminables par l’organisme.
Le 5 juin 2025, l’annonce par une équipe de recherche australienne d’une avancée expérimentale dans le traitement du VIH a attiré l’attention de la communauté scientifique, mais aussi de l’écosystème industriel de la santé. À Melbourne, l’Institut Peter Doherty a mis au point une technique fondée sur l’ARN messager, capable, selon les premières données in vitro, d’activer les cellules infectées par le VIH de manière à les rendre détectables et donc potentiellement éliminables par l’organisme.