Les tensions diplomatiques entre la France et la Russie restent vives. Comme le relate BFMTV, Emmanuel Macron a qualifié jeudi 6 mars la Russie de « menace existentielle » à l’issue d’un sommet à Bruxelles consacré à la défense européenne et à l’Ukraine avec plusieurs chefs d’État et de gouvernement des pays membres de l’Union européenne.
« À très court terme, nous voulons aider l’armée ukrainienne. En 2025, l’UE fournira 30,6 milliards d’euros, financés par les intérêts des actifs russes immobilisés », a indiqué Emmanuel Macron lors d’une conférence de presse. « Au-delà du court terme, (nous) avons décidé de (renforcer) la défense européenne. La Russie représente dans la durée une menace existentielle » pour l’Europe, a poursuivi le chef de l’État. Pour y faire face, « nous avons besoin d’augmenter nos capacités de défense et nous avons besoin de bâtir sur les quelques années qui viennent des capacités de défense autonomes pour les européens », a-t-il encore estimé.
Emmanuel Macron qualifie Vladimir Poutine d’ »impérialiste révisionniste »
Mercredi 5 mars, lors de son allocution présidentielle, Emmanuel Macron avait déjà dégainé des critiques acerbes contre le Kremlin. « La menace russe est là » et « nous touche » avait-il pointé du doigt, rappelant que Moscou « a déjà fait du conflit ukrainien un conflit mondial », « viole nos frontières pour assassiner des opposants », et « manipule les élections en Roumanie, en Moldavie ». À Bruxelles, Emmanuel Macron a également accusé Vladimir Poutine d’être un « impérialiste révisionniste » qui a fait selon lui « un contresens historique », en le comparant à Napoléon. « Napoléon menait des conquêtes. La seule puissance impériale que je vois aujourd’hui en Europe s’appelle la Russie », a-t-il déclaré. « C’est un impérialiste révisionniste de l’Histoire et de l’identité des peuples », a ajouté Emmanuel Macron face à la presse.
Les tensions diplomatiques entre la France et la Russie restent vives. Comme le relate BFMTV, Emmanuel Macron a qualifié jeudi 6 mars la Russie de « menace existentielle » à l’issue d’un sommet à Bruxelles consacré à la défense européenne et à l’Ukraine avec plusieurs chefs d’État et de gouvernement des pays membres de l’Union européenne.
« À très court terme, nous voulons aider l’armée ukrainienne. En 2025, l’UE fournira 30,6 milliards d’euros, financés par les intérêts des actifs russes immobilisés », a indiqué Emmanuel Macron lors d’une conférence de presse. « Au-delà du court terme, (nous) avons décidé de (renforcer) la défense européenne. La Russie représente dans la durée une menace existentielle » pour l’Europe, a poursuivi le chef de l’État. Pour y faire face, « nous avons besoin d’augmenter nos capacités de défense et nous avons besoin de bâtir sur les quelques années qui viennent des capacités de défense autonomes pour les européens », a-t-il encore estimé.
Emmanuel Macron qualifie Vladimir Poutine d’ »impérialiste révisionniste »
Mercredi 5 mars, lors de son allocution présidentielle, Emmanuel Macron avait déjà dégainé des critiques acerbes contre le Kremlin. « La menace russe est là » et « nous touche » avait-il pointé du doigt, rappelant que Moscou « a déjà fait du conflit ukrainien un conflit mondial », « viole nos frontières pour assassiner des opposants », et « manipule les élections en Roumanie, en Moldavie ». À Bruxelles, Emmanuel Macron a également accusé Vladimir Poutine d’être un « impérialiste révisionniste » qui a fait selon lui « un contresens historique », en le comparant à Napoléon. « Napoléon menait des conquêtes. La seule puissance impériale que je vois aujourd’hui en Europe s’appelle la Russie », a-t-il déclaré. « C’est un impérialiste révisionniste de l’Histoire et de l’identité des peuples », a ajouté Emmanuel Macron face à la presse.
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