« Cette décision imprudente ne sera que la propagande du Hamas ». Sur X, le secrétaire d’État étasunien Marco Rubio a donné le ton quant à la décision annoncée par Emmanuel Macron jeudi 24 juillet de reconnaître l’État de Palestine en septembre. Une décision qui ferait même « reculer le processus de paix », selon le secrétaire de l’administration Trump.
Selon le décompte officiel de l’ONU, 148 pays sur les 193 membres de l’organisation internationale reconnaissent officiellement la Palestine comme État à ce jour. Proche de Benyamin Netanyahou et aligné sur sa politique belliciste au Moyen-Orient, Donald Trump s’est rangé du côté de ce dernier qui avait lui-même critiqué la décision de l’Élysée. « Une telle décision récompense la terreur » a-t-il fustigé sur X.
Une « victoire morale »
Du côté de la gauche, Jean-Luc Mélenchon a qualifié cette décision de « victoire morale » ainsi que de « la mobilisation populaire », rapporte BFMTV. Toujours chez les Insoumis, le coordinateur du mouvement Manuel Bompard se demande pourquoi Emmanuel Macron « attend septembre » alors que « c’est maintenant qu’il faut agir », souligne-t-il par rapport à la famine organisée par Israël qui frappe les Gazaouis.
Pour Olivier Faure, qui « salue cette décision », celle-ci « doit être assortie de sanctions tant que durera le génocide en cours. » À l’opposé de l’échiquier politique, Jordan Bardella estime que la décision du chef de l’État « accordera au Hamas, mouvement terroriste islamiste, une légitimité institutionnelle et internationale inespérée ».
« Cette décision imprudente ne sera que la propagande du Hamas ». Sur X, le secrétaire d’État étasunien Marco Rubio a donné le ton quant à la décision annoncée par Emmanuel Macron jeudi 24 juillet de reconnaître l’État de Palestine en septembre. Une décision qui ferait même « reculer le processus de paix », selon le secrétaire de l’administration Trump.
Selon le décompte officiel de l’ONU, 148 pays sur les 193 membres de l’organisation internationale reconnaissent officiellement la Palestine comme État à ce jour. Proche de Benyamin Netanyahou et aligné sur sa politique belliciste au Moyen-Orient, Donald Trump s’est rangé du côté de ce dernier qui avait lui-même critiqué la décision de l’Élysée. « Une telle décision récompense la terreur » a-t-il fustigé sur X.
Une « victoire morale »
Du côté de la gauche, Jean-Luc Mélenchon a qualifié cette décision de « victoire morale » ainsi que de « la mobilisation populaire », rapporte BFMTV. Toujours chez les Insoumis, le coordinateur du mouvement Manuel Bompard se demande pourquoi Emmanuel Macron « attend septembre » alors que « c’est maintenant qu’il faut agir », souligne-t-il par rapport à la famine organisée par Israël qui frappe les Gazaouis.
Pour Olivier Faure, qui « salue cette décision », celle-ci « doit être assortie de sanctions tant que durera le génocide en cours. » À l’opposé de l’échiquier politique, Jordan Bardella estime que la décision du chef de l’État « accordera au Hamas, mouvement terroriste islamiste, une légitimité institutionnelle et internationale inespérée ».