Un nouvel espoir dans la lutte contre le VIH ? Vendredi 25 juillet, l’Agence européenne des médicaments a transmis un avis favorable pour l’utilisation d’un traitement contre le VIH appelé Yeytuo (molécule lenacapavir) en prophylaxie pré-exposition (PrEP). Ce traitement préventif pourrait réduire radicalement le nombre de contaminations.
Comme l’explique BFMTV, le lenacapavir est un traitement pour les personnes qui ne sont pas atteintes par le VIH mais qui ont des comportements jugés à risque. En bloquant la multiplication du VIH dans les cellules, le traitement réduit à près de 100 % le risque de contamination.
« Cette épidémie sera terminée avec ce type de traitement »
Pour Marc Dixneuf, directeur général de AIDES, l’avis favorable de l’UE « peut tout changer en France, en Europe et au niveau mondial ». « C’est une bonne nouvelle car c’est un traitement qui peut vraiment changer les choses contre l’épidémie de VIH (…) Cette épidémie qui se développe, qui est extrêmement dynamique, sera terminée avec ce type de traitement-là », a affirmé le docteur en science politique sur franceinfo, qui espère désormais que l’Union européenne développe l’accès à ce traitement.
Le VIH circule encore beaucoup dans le monde. En 2024, 1,3 million de personnes ont été contaminées par le VIH. « Le souci maintenant, c’est que les personnes jeunes ou moins jeunes ne se protègent pas suffisamment. On espère qu’avec une durée d’efficacité plus importante, les personnes vont plus aller vers ce type d’outils », souligne Florence Thune, directrice générale du Sidaction, sur BFMTV.
Le coût du traitement est très onéreux. Selon franceinfo, il s’élève à environ 25 000 euros par an et par patient aux États-Unis. Pour être sur le marché français, la Haute Autorité de santé (HAS) devra donner son feu vert. Plus de 140 000 personnes pourraient bénéficier de ce nouveau traitement préventif.
Un nouvel espoir dans la lutte contre le VIH ? Vendredi 25 juillet, l’Agence européenne des médicaments a transmis un avis favorable pour l’utilisation d’un traitement contre le VIH appelé Yeytuo (molécule lenacapavir) en prophylaxie pré-exposition (PrEP). Ce traitement préventif pourrait réduire radicalement le nombre de contaminations.
Comme l’explique BFMTV, le lenacapavir est un traitement pour les personnes qui ne sont pas atteintes par le VIH mais qui ont des comportements jugés à risque. En bloquant la multiplication du VIH dans les cellules, le traitement réduit à près de 100 % le risque de contamination.
« Cette épidémie sera terminée avec ce type de traitement »
Pour Marc Dixneuf, directeur général de AIDES, l’avis favorable de l’UE « peut tout changer en France, en Europe et au niveau mondial ». « C’est une bonne nouvelle car c’est un traitement qui peut vraiment changer les choses contre l’épidémie de VIH (…) Cette épidémie qui se développe, qui est extrêmement dynamique, sera terminée avec ce type de traitement-là », a affirmé le docteur en science politique sur franceinfo, qui espère désormais que l’Union européenne développe l’accès à ce traitement.
Le VIH circule encore beaucoup dans le monde. En 2024, 1,3 million de personnes ont été contaminées par le VIH. « Le souci maintenant, c’est que les personnes jeunes ou moins jeunes ne se protègent pas suffisamment. On espère qu’avec une durée d’efficacité plus importante, les personnes vont plus aller vers ce type d’outils », souligne Florence Thune, directrice générale du Sidaction, sur BFMTV.
Le coût du traitement est très onéreux. Selon franceinfo, il s’élève à environ 25 000 euros par an et par patient aux États-Unis. Pour être sur le marché français, la Haute Autorité de santé (HAS) devra donner son feu vert. Plus de 140 000 personnes pourraient bénéficier de ce nouveau traitement préventif.